PACIFIC EXPRESS

pacific.jpg

Auteure : Anne Bernard-Lenoir |Pacific Express | Éditions: La courte échelle

Illustrations des couvertures (doubles) : Pierre Yves Cézard

  • Terreur sur la ligne d'acier |Enquête 1, 121 pages, 2011

    ISBN : 978-2-89651-373-4

    Roman FINALISTE - PRIX LITTÉRAIRE HACKMATACK 2013 (prix décerné par les jeunes lecteurs des provinces atlantiques)

    Roman FINALISTE - PRIX LITTÉRAIRE TAMARAC 2013 (prix décerné par les jeunes lecteurs de l’Ontario)

  • La disparition de Ti-Khuan |Enquête 2, 124 pages, 2011

    ISBN : 978-2-89651-442-7

  • La tabatière en or |Enquête 3, 120 pages, 2011

    ISBN : 978-2-89651-493-9

  • L'inconnu de Beaver |Enquête 4, 108 pages , 2012

    ISBN : 978-2-89651-630-8

  • Le pont du ruisseau Mountain |Enquête 5, 104 pages, 2013

    ISBN : 978-2-89651-642-1

5 enquêtes dans l’Ouest canadien des années 1880 !

Suivez les aventures palpitantes du jeune Luke McAllan au temps de la construction de la première voie ferrée transcanadienne !

5 histoires autonomes… s’inscrivant également dans une suite !

Et la grande finale est en préparation…

Public: à partir de 9 ans

Chaque roman de cette série est une enquête autonome et complète

Fiches de lecture: ici

Où acheter ces romans au Québec, au Canada et en Europe ? Détails ici (Foire aux questions)

extraits de presse

Dans la série Pacific Express, chevaux, saloon et révolver créent une atmosphère dramatique rare dans un roman pour enfants. L’auteure nous amène dans les années 1880, au cœur du chantier du Canadian Pacific Railway, première voie ferrée à établir la communication d’ouest en est dans notre pays en expansion. C’est une belle série épique pour rendre hommage à ce pan de notre histoire. Dans ce 4etome, le jeune Luke MacAllan tente de s’établir à Beaver, extrémité ouest de la voie à l’époque. Malgré ses 12 ans, il trouve un emploi dans une scierie pour subvenir à ses besoins. Pour se rapprocher de son projet de rejoindre sa petite sœur, il accepte d’utiliser son cheval pour devenir assistant du croque-mort. Ce métier inusité le placera au centre d’un complot fatal qui vous tiendra en haleine. Sans illustration, le récit laisse place à une émotion crue, ébauche des séries dramatiques ou véridiques que certains dévoreront dans quelques années. C’est donc ma dernière suggestion pour étendre dès maintenant leur répertoire d’expériences liées à la lecture. Et vu le contexte, on peut parier que les garçons seront les premiers amateurs. Bien que fictive, l’aventure s’inspire de la vie et de quelques personnalités marquantes de l’époque. Vos élèves seront surpris par les conditions de travail, l’âge des employés et leur salaire.
— Vivre le primaire, magazine de l’AQEP (Association québécoise des enseignantes et des enseignants du primaire), chronique Rat de bibliothèque, C. Tringali ; volume 26, No1, hiver 2013 (La collection Pacific Express)
Life is rough for orphan in Wild West (For kids, en Français). Life is not easy for a boy growing up in Canada’s Wild West in the 1880s, and Luke MacAllan’s life is particularly difficult. At 11, he has already lost his mother to scurvy. His father, overcome by sorrow, has decided to take Luke out west to find work on the Canadian Pacific Railway. They head to the Rockies, where they find work on a crew whose job it is to find the shortest, surest passages for the railway. Luke’s father is a surveyor, charged with the dangerous task of assessing the stability of areas that have been recently dynamited. One day, Luke watches in horror as his father and another surveyor are buried alive in a rock slide. Now Luke is an orphan, overcome with sorrow. One night around the workers’ campfire, Luke makes the mistake of trying whiskey. Stumbling through town drunkenly, he comes upon a dead body and is then arrested by two unsavory police officers who accuse him of murder. Luke is thrown in jail briefly. He then learns of a plot to bomb a railway tunnel and he and his only friend, a young Chinese orphan named Ti-Khuan, have to step up to save the day. This chapter book, the first in a new series called Pacific Express, is certainly not for the faint of heart. The bad guys are thoroughly bad and even the good guys are far from perfect. But for kids 8 to 10 (and older for those for whom French is a second language) who like adventure stories, it is an intriguing glimpse into Canada’s history, and into the lives of thousands of poor boys and men, many of them underpaid Chinese immigrants, who built this country’s railway by hand.
— Michelle Lalonde, Journal The Gazette, Montréal, 17 sept 2011 (Terreur sur la ligne d’acier et la collection Pacific Express)
Un petit polar ayant pour toile de fond la construction du chemin de fer transcanadien et les conditions rudes et précaires auxquelles étaient soumis les travailleurs, non seulement en raison de la nature sauvage qui les entouraient, mais des maladies (dont le scorbut ou la typhoïde) qui faisaient de grands ravages. Ce cadre historique bien défini sert d’ailleurs parfaitement l’intrigue qui permet ici à l’auteure de dénoncer au passage le mépris et le racisme avec lesquels était traitée la main-d’œuvre chinoise.
— Bibliothèques de Montréal, Catalogue Nelligan, 2011 (La disparition de Ti-Khuan)
Avec Pacific Express (la courte échelle), Anne Bernard-Lenoir propose quant à elle une série qui retrace l’histoire de la construction du premier chemin de fer transcontinental du Canada, en 1880. Attentat à la bombe, disparition étrange d’un employé chinois… Ce pan de l’histoire n’aura jamais été aussi intéressant!
— Revue Le Libraire, juillet-août 2011 (La collection Pacific Express)
... lecture d’une grande fluidité, qui se double d’une petite leçon d’histoire divertissante et bien amenée
— Bibliothèques de Montréal, Catalogue Nelligan, 2012 (L’Inconnu de Beaver)
Écrit dans un style coulant, au vocabulaire précis, aux dialogues vifs, ce roman regorge de détails sur la difficile vie quotidienne des ouvriers du chemin de fer à l’époque, sur leur proximité avec la nature sauvage. On y sent un climat menaçant, mais les personnages, à commencer par le jeune narrateur, ses amis et complices, apportent la dose d’humanité nécessaire pour survivre dans cet univers rude. Par surcroit, le suspense y est mené avec brio, l’énigme ne se dénouant qu’à la toute fin. Vite, la suite !
— R. Bertin, revue de littérature jeunesse Lurelu, hiver 2012 (La disparition de Ti-Khuan)
… Évidemment, les jeunes lecteurs français auront le bénéfice du dépaysement total, l’histoire et la géographie canadiennes étant largement méconnues. (…) Les lecteurs pourront facilement s’identifier au narrateur, Luke MacAllan, âgé seulement de 11 ans. (…) Romans historiques mais aussi romans policiers. Chaque tome est l’objet d’une nouvelle aventure, d’une nouvelle enquête, bien distincte des autres. (…) Anne Bernard-Lenoir a un style d’écriture limpide et a beaucoup de talent pour maintenir le suspense jusqu’au bout. Il y a régulièrement de petits rebondissements qui relancent le récit. Le mélange des genres est parfaitement adapté pour des romans sur cette thématique-là. La série Pacific express est idéale pour des lecteurs de 8 à 11 ans. Les personnages étant masculins, nul doute que les garçons seront les plus accrocheurs.
— Histoire d’en Lire, Médiathèque de Teyran, Mai 2013 (La collection Pacific Express)
Voici le volume 5 de la magnifique série Pacific Express destinée aux élèves du 3e cycle du primaire. Sous la forme du roman historique, c’est davantage une suite d’intrigues policières qui interpelleront vos lecteurs. Un jeune orphelin, Luke MacAllan, vivra toutes sortes d’aventures passionnantes et troublantes sur les chantiers de construction du chemin de fer transcontinental dans l’Ouest canadien. Malgré son travail exigeant, Luke devra se transformer en détective pour venir en aide à ses amis, mystérieusement disparus.
— Lu pour vous, chronique des Service des ressources pédagogiques, Commission scolaire de la région-de-Sherbrooke, mai 2013 (Le pont du ruisseau Mountain et la collection Pacific Express)
Dans ce quatrième tome, l’épisode du voyage en train est tout simplement spectaculaire !
— Histoire d’en Lire, Médiathèque de Teyran, Mai 2013 (L’Inconnu de Beaver)
La construction du chemin de fer dans les Rocheuses est un peu notre « Wild West ». Il s’agit là d’une série d’aventures palpitante, qui marie habilement une toile de fond véridique à une intrigue soutenue. Les personnages sont captivants, crédibles, en particulier les deux garçons, qui sont sympathiques et courageux sans jamais tomber dans le cliché du « détective en herbe qui réussit là où tout le monde a échoué. (…) il n’y a pas beaucoup de bons récits d’aventures à se mettre sous la dent, et ce roman enlevant vient combler ce manque. Il est fait allusion aux titres précédents de la série,  mais cela n’empêche pas de bien suivre l’histoire.
— G. Létourneau, revue de littérature jeunesse Lurelu, printemps-été 2012 (La tabatière en or et la collection Pacific Express)
Anne Bernard-Lenoir excelle dans la création d’atmosphères ; dans Pacific express, on est plus que lecteur, on est spectateur. On peut sentir le lieu, l’ambiance, même le froid de l’hiver dans la montagne. Le rythme est bon, les personnages sympathiques et le style très accessible.
— R. Dufresne, Le délivré, Librairie Monet, 6 juin 2011 (La collection Pacific Express)
Luke MacAllan, orphelin d’une maturité remarquable pour un enfant de onze ans, est un modèle inspirant de débrouillardise, de courage, de ténacité. Le suivre dans l’Ouest canadien, dans le contexte de la construction de la première voie ferrée transcanadienne, c’est porter son regard sur un coin de pays qu’on connaît peu ou pas du tout, c’est découvrir des mentalités, des maladies, des objets, des métiers surprenants disparus au fil du temps. C’est côtoyer la mortalité qui insuffle sans peine l’empathie, c’est croiser les mystérieux « macchabées » qui provoquent invariablement des sueurs froides. Les descriptions imagées nous projettent dans l’action en compagnie des personnages, colorent les paysages de leur parcours, nous font vibrer au gré d’une gamme d’émotions aussi intenses que contradictoires. Les dialogues plus ou moins enflammés entretiennent le suspense d’un chapitre à l’autre. Le vocabulaire appelle ici et là l’effort : plus d’une fois macabre, il rend l’intrigue crédible.
— C. Filion, revue de littérature jeunesse Lurelu, automne 2012 (L’inconnu de Beaver)