“J’étais très curieuse de lire ce roman jeunesse qui m’attirait beaucoup. Cette histoire est intéressante à plusieurs points de vue.

Nous sommes à Montréal, au 19e siècle. Télesphore Mathesson est un ancien officier de police. Il reçoit par la poste une lettre d’un ami qui lui demande de l’aide car il est emprisonné. Il clame qu’il est innocent. Télesphore met alors la main sur un vieux coffret qui devrait innocenter son ami. Il doit d’abord en éplucher le contenu. On suit donc Télesphore, alors qu’il découvre chaque pièce du coffret et tente d’en dénouer les fils.

Articles de journaux, lettres, croquis d’oiseaux ou de coquillages, notes, photographies, brouillons, reproductions d’œuvres d’art, le coffret est une véritable chasse au trésor. Ces vieux papiers nous plongent d’ailleurs dans un monde incroyable, celui de Charles Darwin, des théories scientifiques et des quêtes de cette époque.

Voilà un roman jeunesse particulier et original, qui nous fait découvrir à travers une enquête, la vie de Charles Darwin. Le roman prend une tournure que je n’avais pas devinée et qui nous permet d’explorer une autre facette, médicale cette fois, de cette époque.

J’ai trouvé les thématiques originales puisqu’elles nous offrent une plongée dans l’histoire tout en titillant notre curiosité. Les nombreuses reproductions de documents sont aussi vraiment intéressantes. Les notes à la fin permettent de mieux comprendre l’époque du roman et ses particularités, en plus d’offrir un survol de la vie de Darwin.

Voilà le genre de roman jeunesse qui me plaît: original, atypique, bien écrit et différent. On y plonge avec curiosité. Une très bonne lecture!

Le Naufragé du Royal Mansion, Anne Bernard-Lenoir, éditions Québec Amérique, 176 pages, 2023” Mon coussin de lecture, 16 août 2023

“Incontournable Mars 2023

Un petit roman qui vous semblera être une enquête en huis clos, mais qui vous réserve une tournure digne de Shutter Island, de Dennis Lehane.

"Télesphore Mathesson, un ancien officier de police, reçoit par la poste des nouvelles insolites d’un vieil ami qui croupit en prison. En explorant le contenu d’un mystérieux coffret, il pourrait trouver comment lui venir en aide. Télesphore découvre alors des voyages exotiques, des lettres intimes, l’évolution du bec des pinsons et d’incroyables théories scientifiques. Jusqu’où cette quête le conduira-t-il? Au cœur du port de Montréal au 19e siècle, entre les théories de Darwin et les embêtements du quotidien, l’enquêteur explorera les limites de son imagination! "

L'imagination, c'est le mot clé. Cette paperasse hétéroclite auquel il tente de donner du sens, entre deux regards sur le port de Montréal en pleins hiver, le mène sur les traces d'un jeune homme, Tom, orphelin de père du riche propriétaire du Royal Mansion. Il cherche la vérité sur son géniteur réel, ce qui le pousse à quitter les jupes de sa mère à l'âge de 15 ans pour naviguer de part le monde en quête de son père. Après une première tentative infructueuse, il se retrouve sur les pas d'un certain Charles Darwin. Oui, le célèbre naturaliste et paléontologue britannique qui a travailler sur la théorie de l'évolution. Télésphore tente de mettre de l'ordre dans cette histoire afin de pouvoir prouver la légitime propriété du coffre et ainsi disculper son ami écossais. Pas toujours facile, cela dit, avec une épouse pas commode, un beau frère encombrant et la perte de son âne adoré, Maturin.

Mais dans ces éléments susmentionnés, quelque chose me turlupine légèrement. Daurine, son épouse, a quelque chose d'étrange, avec ses tisanes qu'elle tente toujours de lui faire boire, son côté froid et même pincé qui traduit une absence d'affection. Bon, peut-être est-ce un mariage malheureux, au Québec, ça n'a rien de très surprenant vu le contexte religieux ultra-sévère. Ce beau-frère médecin qu'il traite sans arrêt d'imbécile envahissant aussi est perturbant, mais bon, des médecins pas terribles, ça existe. Quand à Mathurin...et bien, c'est étonnant de vouer une telle affection au point de vivre un deuil difficile.

Attention, à partir d'ici, il y aura des divulgâches.

Cette histoire est sympathique, mais elle est en majeure partie fictive. Daurine est une infirmière qui en a sa claque de devoir gérer un patient qui vit dans son monde. Le beau-frère imbécile est en réalité une psychiatre. Mathurin est un cochambreur malheureusement décédé. Quand à Télésphore, il s'appelle en réalité Louis-Étienne Lefrançois, il a 17 ans et il y a 7 ans, il a subit un traumatisme sévère en voyant son père mourir devant lui. Exactement comme ce petit garçon de dix ans dont on entends parlé au début du roman et qui a "croisé" la route de l'officier de police Télésphore Mathesson. En fait, non, puisque Télésphore est aussi Louis-Étienne. Aucun collègue écossais ne lui a sollicité son aide et les bouts de papiers n'ont pas de sens pour les autres personnages. Ils sont donc peut-être fabriqués ou interprété selon l’imaginaire du jeune homme.

Les trésors de constructions sophistiquées de l'esprit humain fascine depuis toujours, mais la psychiatrie et la psychologie sont des sciences relativement nouvelles à l'échelle de l'humanité. La notion de "folie" était auparavant très floue et se prêtait à tous les maux. On ne cherchait pas tant à comprendre leur état que d'empêcher ses "fous" de semer le trouble dans la société. Pire, on discréditait donc tout propos de la part de ses gens, comme si rien ne pouvait être prit au sérieux. Bref, à travers l'histoire de Louis-Étienne, ce que je vois, c'est un jeune homme qui , certes, vit dans un autre "monde", mais qui a un potentiel créatif incroyable. L'esprit humain est encore a bien des égards mystérieux, mais il semble assez reconnu que cet esprit est capable de se construire des trésors d'ingéniosité pour survivre à des évènements traumatiques. Il faut dire que dans le cas de Louis-Étienne, qui vit dans un asile depuis 7 ans avec des sœurs religieuses, l'élément de prise en charge est strictement limité à de la médication et un rappel constant qu'il fabule, sans creuser le trauma, sans réelle psychothérapie ni empathie. En somme, comment faire sortir ce jeune homme brillant de son œuvre et de son avatar policier retraité si personne ne s'intéresse aux émotions refoulés ou mécanismes d’adaptation qu'il sous-tend? Le roman de Shutter Island, roman policier-thriller adulte, avait des bases similaires, avec un personnage qui devait survivre à un drame extrêmement difficile.

J'aime bien cette histoire, menée comme un polar, mais ramené à sa réalité à la fin. La réalité qui n'est pas celle de Louis-Étienne et qui ne compte pas en sortir. À travers ses yeux, c'est un amalgame entre la quête d'un père, la science de l'évolution alors révolutionnaire et son besoin de nourrir son intellects. Je lis un jeune homme qui se meurt d'ennui dans un lieu mal conçu pour ses besoins, un enfant qui ne sait pas comment survivre à la perte de son père et peut-être même gérer ses émotions face au deuil qui l'a frappé de pleins fouet à un âge tendre. J'ai aimé que nous puissions voir déjà dans l'histoire de Louis-Étienne certains éléments étranges, qui prennent alors tout le sens à la fin du roman. Enfin, j'aime cette idée de la dimension "créatrice" de la santé mentale, qui nous font raconter des histoires fictives même à nous-même, quand la réalité est trop dure à gérer. Certaines personnes, sans même parler de désordre mental, font du déni et de la projection, deux mécanismes de défenses connus, et qui tendent à sortir de la réalité. Comme l'amoureux qui fabule un amour réciproque ou le narcissique qui se fabule une supériorité.

Aussi, cette construction d'un "avatar", une projection de soi ou une dimension personnifiée de soi, est aussi un élément fascinant du monde de la psychologie et psychiatrique. Pour certains théoriciens, il s'agirait d'une personnalité multiple, mais d'autres théories penchent pour une sorte de personnification d'une dimension de soi, comme une sorte de bouclier personnifié, appelé trouble dissociatif de l'identité. Dans le cas de Louis-Étienne, la sœur Gustav a proposé quelque chose d'intéressant: Un personnage qui serait le policier bienveillant qui aurait été là pour recevoir son deuil et investiguer sur le décès de son père. Télésphore pourrait donc être la figure de support qu’aurait eu besoin le jeune garçon.

Le roman lui-même est intéressant à lire, ponctué ça et là de morceau de papier, rubriques, journaux, peintures, listes et autre médium papier, illustrés dans leur forme dans le roman. Certains passages sont rédigés en police manuscrite, puisque ce sont des lettres, comme à l'époque. C'est un bel ajout, surtout pour les lecteurs et lectrices visuels, qui apprécie d'avoir autre chose sous les yeux que des paragraphes.

Enfin, et c'est là une belle dimension, l'Histoire. Nous sommes dans le port de Montréal dans la seconde moitié du 19e siècle. On y découvre donc les lieux de l'époque, les commodités et les inconvénients, les décors de ce Montréal industriel et commercial.

Contrairement à ce que pourrait laisser entendre les mots "Histoire du Québec", il n'y a pas le langage "joual" qu'on lui associe. Les personnages s'expriment clairement dans un français international. Le récit est narré au "je", nous sommes donc dans les souliers de Télésphore/Louis-Étienne.

Un bon petit roman passionnant et surprenant, dont le décor vintage nous offre autant du polar en huis clos qu'une ouverture sur les enjeux de santé mentale. Un roman dont le titre prend tout son sens une fois lu.

Pour un lectorat du troisième cycle primaire, 10-12 ans, mais qui peut convenir aux 8-9 ans matures et habiles en lecture et qui cherchent des histoires avec une fin particulièrement surprenante.” Librairie Monet, 2023

“Port de Montréal, 1859. Un policier à la retraite tente de sauver la vie d’un ami. C’est par le biais d’une missive qui lui parvient d’Écosse que Télesphore Mathesson est mis au courant de l’incroyable histoire de son vieil ami Stuart O’Quinn. Par écrit, ce dernier jure qu’il n’a rien à voir avec le vol de supposées pierres précieuses qui se trouvaient dans un coffret. Une intrigue policière qui a tout pour plaire aux amateurs de science et d’histoire. Des notes historiques et scientifiques, de même que des documents visuels sont inclus dans le roman. Tout le matériel nécessaire pour mener l’enquête!” Anne-Marie Lobbe, Journal de Montréal, 26 février 2023

 
 
 
 
 

Source : Communication-Jeunesse. Lire aussi le communiqué officiel du Conseil des arts de Montréal.

 

“À travers le personnage cupide et grincheux de Grapillon, les enfants seront amenés à s’interroger sur les notions d’éducation, de consentement et d’égalité des sexes.”

Lire l’article ici

 
 
 

On parle de Djeebee et du Festival Tout’ tout court dans le journal !

Lire ici.

djeebee_JdQ_19oct2020.jpg
  • “Molière, alias Djeebee Poquelin” - La Presse, 14 octobre 2020. Article de Stéphanie Morin.

    “Le Festival tout’tout court, qui installe d’ordinaire ses pénates dans Mercier – Hochelaga-Maisonneuve, a décidé de présenter en ligne de courtes formes scéniques. Dans le lot : Djeebee, une pièce en un acte destinée aux 8 ans et plus.

    On y rencontre Alex (Maxime Mompérousse), un jeune Québécois qui peine à remplir un examen où il doit imaginer quelles questions il poserait à Molière s’il le rencontrait. Coup de chance : nul autre que Jean-Baptiste Poquelin (Stéphane Franche) lui apparaît.

    C’est l’occasion de parler de la vie du dramaturge, mais surtout de faire du théâtre en alexandrins sur le dos du professeur !

    Un texte qui fait sourire toute la famille, signé Anne Bernard-Lenoir. Gratuit, jusqu’au 31 octobre.”

    Lire ici.

 
 

« Comme elles sont belles, comme elles sont douces mes pièces d’or… Quelle lumière, quelle splendeur… On croirait voir briller le feu… » s’exclame Grapillon, le visage penché sur son précieux coffret. S’amorce ainsi l’histoire bien connue de cet homme nerveux et suspicieux qui enlève, dit-on, ses lunettes pour ne pas les user, fait ses confitures avec la pelure des fruits, garde l’heure quand on lui réclame. L’argent permet tout, croit-il. Mais, devant une jeune Marianne brillante et un fils entêté, le moindre écu n’a au final que peu de poids.

Dans Le petit avare, toute nouvelle production du Théâtre du Gros Mécano, l’autrice Anne Bernard-Lenoir — bien connue du côté de la littérature jeunesse — rejoue librement le classique de Molière en investissant les thèmes du féminisme et de l’éducation. Alors que Grapillon (Bertrand Alain) chérit ses 10 mille écus tout en convoitant la belle Marianne (Mary-Lee Picknell), son fils Octave (Maxime Robin) s’éprend de la même jeune fille. Plusieurs face-à-face corsés, chamailleries, entourloupettes, duperies se jouent alors entre les deux coqs, créant des scènes cocasses. Mais c’est sans connaître les visées de Marianne qui, elle, n’a nulle envie de devenir mère et épouse, femme obéissante « comme un chien » tel que lui demande Grapillon. Elle rêve de liberté, d’éducation, de découvertes.

Les trois comédiens s’échangent ainsi avec force vive et énergie les rigoureuses répliques en alexandrins écrites par Bernard-Lenoir tout en interprétant plusieurs rôles. Mary-Lee Picknell, en plus d’incarner une Marianne solide, joue tour à tour et avec aplomb le valet éconduit, Jacquot le sot et Flibuste, un ancien ami qui viendra appuyer les jeunes dans leur dessein. Maxime Robin en fils adolescent manque un peu de naturel et d’aisance, mais brille dans son petit rôle de policier venu enquêter sur la disparition du coffret d’or. La palme revient toutefois à Bertrand Alain, qui donne un avare des plus truculent. Nerveux, manipulateur, le petit homme se laisse emporter dans ses élans de colère, de démence, un jeu qui n’est pas sans rappeler les mimiques et les déplacements rapides de Louis de Funès dans L’avare, film coréalisé par l’acteur et Jean Girault en 1980.

À travers le décor

Les comédiens s’en donnent ainsi à coeur joie dans une mise en scène sobre signée Carol Cassistat (Nous ne sommes pas des oiseaux ?) qui permet de garder l’oeil ouvert et l’oreille attentive aux nombreuses rimes et au jeu vif des artistes. Astucieux, le metteur en scène joue ainsi de transparence en laissant aux spectateurs le plaisir de voir les comédiens entrer et sortir du plateau, changer de costumes, s’inviter d’une certaine façon dans l’envers du décor. Une structure de métal pivotante posée en plein centre de la scène, et rappelant la forme d’une maison, fait office d’entrée et de sortie des comédiens tout en assurant les changements de scènes.

Visuellement, rien ne fait ici référence au XVIIe siècle, ce qui actualise d’autant plus le propos. Octave porte des vêtements d’adolescents, jeans troués et chemise de denim, alors que Marianne, plus classique, n’a rien de cette jeune femme corsetée et soumise. Une adaptation brillante et sans prétention qui s’inscrit avec doigté dans le cours des jours.”

Lire la critique ici.

  • « Elektro : moderne et différent » - Le Journal de Québec, 28 juillet 2019. Article et critique d’Yves Leclerc.

    “On reproche souvent au théâtre d’été son cabotinage, ses quiproquos et ses claquements de portes en série. La pièce Elektro offre une comédie moderne qui réussit à éviter ce terrain miné.” Lire l’article au complet ici.

 
 
 

“Moderne, inventive et intelligente cette pièce a tout pour vous plaire. Les dialogues sont parfois chargés mais rendus avec une aisance surprenante qui les rend très accessibles. La première partie nous fait découvrir le grand talent de Sylvain Perron. Son texte est livré avec spontanéité et naturel. Nicola Boulanger nous offre aussi une belle performance en deuxième partie, avec son discours sur les garanties prolongées… essoufflant! Catherine Côté et Valérie Boutin ne sont pas en reste. Elles complètent magnifiquement bien le quatuor.

Le décor plus que minimaliste, laisse toute la place à notre imagination. Quelques cubes placés d’une certaine façon forment une unité de salle de bain, séparés et dépliés ils forment un réfrigérateur, un duo laveuse et sécheuse, un comptoir de magasin, même un cercueil.”

L. Laroche, Destination ville de Québec, 26 juillet 2019 - Lire l’article au complet ici.

 
 

Écouter à la minute 17:25 de l’extrait vidéo

Écouter au complet ici (intervention à 15h43

« Une réflexion sur le couple, sur la vie qui va et qui passe parfois trop vite ou sur les chemins qu’on va parfois emprunter et qui ne nous conviennent pas ou ne nous conviennent plus… Un texte bien travaillé… On est toujours dans la métaphore bien sûr… on parle de surconsommation, d’absurdité... Des comédiens de qualité… une scénographie intéressante…. de belles trouvailles…
— Anne-Josée Cameron, C’est encore mieux l’après-midi, ICI Radio-Canada Première, 26 juillet 2019
 
  • Journal Métro, Montréal, 5 octobre 2016 (Les pensionnaires de La Patoche)

“Le chien volant. Choix de la rédaction !”

  • Bibliothèques de Montréal, octobre 2016 (Le chien volant et la collection Les pensionnaires de La Patoche)

“Un petit roman pétillant de vivacité et d’originalité (…) Des illustrations stylisées à saveur BD ajoutent encore à la qualité de cette lecture d’une grande fluidité qui offre une vision de la vieillesse un peu idyllique, certes, mais également positive, optimiste et résolument rafraîchissante. Soulignons finalement que les héros se partagent la narration d’un titre à l’autre de cette série qui réchauffe le cœur et qui rappelle que l’amitié, l’entraide et le bonheur n’ont pas d’âge.” Lire l’article au complet ici

Auteure vedette du Club de lecture d’été TD 2016.

  • Cité boomers, Coin des grands-parents, août 2016, article d’André Maccabée. (Le chien volant, Les pensionnaires de La Patoche)

Les rumeurs seraient donc vraies : un chien étrange rôderait dans le domaine de La Patoche ! C’est la première fois que les trois pensionnaires font face à un mystère paranormal ! C’est la 5e aventure du trio. On fera des nuits d’enquête, et on finira par trouver, je l’ai lu d’une traite, c’est un plaisir garanti, avec pleins de suggestions pour les jeunes, à faire en famille.
— A. Maccabée, Cité Boomers, 2016

“des intrigues captivantes à l’écriture simple et humoristique, que les premiers lecteurs sauront apprécier. Un petit roman qui fait le pont entre les générations et qui suscite bien des discussions en classe, comme en famille.” (Les pensionnaires de La Patoche)

  • Histoire d’en Lire, Médiathèque de Teyran, France, 2013, article d’Isabelle Durand. (Le destin des sorciers, collection enigmae)

Lire l’article au complet ici

“Comme les personnages, on frémit à la lecture de ces descriptions. Les parts fictive et historique sont intimement liées, une note de l’auteure en fin d’ouvrage précisant chaque aspect. La traque des sorcières au Moyen Age, en France, a été très soutenue. Cette énigme résolue avec brio le démontre très clairement. C’est même l’un des rares romans pour enfants à apporter autant de précisions historiques.”

  • “Lire sans relâche" Journal de Montréal,‎ 23 février 2013, article de Karine Vilder (Une disparition poilue, Les pensionnaires de La Patoche)

“Cette fort sympathique série a pour cadre La Patoche, une maison de retraite modèle. (…) Un récit facile à lire pour Sherlock Holmes en herbe !”

  • Lu pour vous, chronique des Service des ressources pédagogiques, Commission scolaire de la région-de-Sherbrooke, mai 2013. Article de Marie-Pascale Morin et Marie-Christine Dubreuil. (Le pont du ruisseau Mountain et Pacific Express)

Lire l’article au complet ici (page 6)

“Voici le volume 5 de la magnifique série Pacific Express destinée aux élèves du 3e cycle du primaire. Sous la forme du roman historique, c’est davantage une suite d’intrigues policières qui interpelleront vos lecteurs. Un jeune orphelin, Luke MacAllan, vivra toutes sortes d’aventures passionnantes et troublantes sur les chantiers de construction du chemin de fer transcontinental dans l’Ouest canadien.”

  • Revue de littérature jeunesse LURELU, automne 2013, article de M.M. Plourde. (Une disparition poilue, Les pensionnaires de La Patoche)

Lire l’article au complet ici (page 2)

“Intrigues bien ficelées, bonne dose d’humour, chapitres courts et découpés de manière à alimenter le suspense… (…) [L’histoire] d’Anne Bernard-Lenoir m’a charmée dès les premières pages. Le plan détaillé de la maison de retraite, l’introduction accrocheuse décrivant cette institution idéale et la présentation des personnages annoncent déjà un récit coloré. Bravo pour l’originalité de la proposition et la personnalité des personnages principaux, tous plus attachants les uns que les autres.”

  • Histoire d’en Lire, Médiathèque de Teyran, France, 2013, article d’Isabelle Durand (Le secret de l'anesthésiste, collection enigmae)

Lire l’article ici

“… le trio va s’intéresser à l’histoire de la médecine et plus précisément au XIXe siècle. Grâce aux descriptions fournies, on peut voir comment étaient réalisés les soins et surtout les opérations à l’époque : sans anesthésie avec bien sûr un taux de mortalité très élevé. Malgré cela, les recherches qu’entreprend Faubert D’Imbeault pour trouver comment réaliser une anesthésie sont bien compliquées, les obstacles étant nombreux ! A cette époque-là, les préjugés avaient déjà la vie dure. On partage avec eux leur séjour sur la Grosse-Ile, une station de quarantaine pour tous les immigrants qui arrivaient au Canada. L’auteure apporte de nombreuses précisions historiques telles que les maladies qui s’y sont développées, les milliers d’hommes, de femmes et d’enfants qu’il a fallu soigner, les conditions de travail des médecins et infirmiers. Les bâtiments qui existent encore quand viennent Félix, Léo et Emmy ont gardé leur aspect lugubre et inquiétant. Et finalement, l’enquête ne se résume pas seulement à expliquer la mort de Faubert D’Imbeault, des répercussions ayant lieu directement pendant le séjour du trio. Un roman d’enquête tout simplement passionnant et tout de suite accrocheur !”

  • Histoire d’en Lire, Médiathèque de Teyran, France, 2013, article d’Isabelle Durand(L’Inconnu de Beaver, Pacific Express)

Lire l’article ici, et sur la collection Pacific Express

“l’épisode du voyage en train est tout simplement spectaculaire !”

  • Blog littéraire de la Commission scolaire de Kamouraska-Rivière-du-Loup, octobre 2013, article de M.J. Proulx St-Pierre. (Le secret du pommier, Les pensionnaires de La Patoche)

“Cette mini-enquête, imaginée par Anne Bernard-Lenoir, constitue une merveilleuse lecture ! ”

  • Vivre le primaire - magazine de l’AQEP (Association québécoise des enseignantes et des enseignants du primaire), chronique Rat de bibliothèque, vol 26, No1, hiver 2013, article de Caroline Tringali. (L’inconnu de Beaver et Pacific Express)

Lire l’article ici (p 70)

“Dans la série Pacific Express, chevaux, saloon et révolver créent une atmosphère dramatique rare dans un roman pour enfants. L’auteure nous amène dans les années 1880, au cœur du chantier du Canadian Pacific Railway, première voie ferrée à établir la communication d’ouest en est dans notre pays en expansion. C’est une belle série épique pour rendre hommage à ce pan de notre histoire. (…) Sans illustration, le récit laisse place à une émotion crue, ébauche des séries dramatiques ou véridiques que certains dévoreront dans quelques années. C’est donc ma dernière suggestion pour étendre dès maintenant leur répertoire d’expériences liées à la lecture. Et vu le contexte, on peut parier que les garçons seront les premiers amateurs. Bien que fictive, l’aventure s’inspire de la vie et de quelques personnalités marquantes de l’époque. Vos élèves seront surpris par les conditions de travail, l’âge des employés et leur salaire.”

  • Revue Le libraire, édition spéciale, déc 2012-janv 2013. (Le secret du pommier, Les pensionnaires de La Patoche)

Lire l’article ici

“Anne Bernard-Lenoir, qui a le bon goût de prendre en considération l’intelligence des jeunes lecteurs, offre un excellent roman. Nina, Rose et Louis mènent l’enquête à la maison de retraite La Patoche (un endroit dont on devrait s’inspirer...). Quel bonheur de suivre les aventures tranquilles de ces trois adorables personnages ! Bien campé dans la réalité des personnes âgées, ce roman mérite l’attention de tous les lecteurs, des débutants aux plus aguerris.”

  • Le délivré, blog littéraire de la Librairie Monet, 8 octobre 2012, article de Francesca Boudreault (Le secret du pommier, Les pensionnaires de La Patoche)

“L’auteure, qui semble penser que ses jeunes lecteurs sont intelligents, offre un petit bijou de roman première lecture. Les personnages sont très attachants et leur maison de retraite devrait servir d’exemple à tous les proprios de maison de retraite de la terre. Un roman splendide, à mettre entre les mains des 8 à 10 ans.”

Lire l’article ici

“Enquête, histoire, archéologie, arts et mystère: tous les ingrédients gagnants sont réunis dans une trame captivante qui, sous le couvert de la fiction, initie les lecteurs à des événements phares du passé en les entraînant ici de Banff jusqu’aux schistes argileux, en passant par le lac Serpentine et la carrière Walcott. Des reproductions de documents et de correspondance qui nourrissent l’enquête des protagonistes ajoutent à la crédibilité et au dynamisme de la narration accrocheuse et bien documentée.”

  • Revue de littérature jeunesse LURELU, printemps-été 2012, article de G. Létourneau. (La tabatière en or et la collection Pacific Express)

“La construction du chemin de fer dans les Rocheuses est un peu notre « Wild West ». Il s’agit là d’une série d’aventures palpitante, qui marie habilement une toile de fond véridique à une intrigue soutenue. Les personnages sont captivants, crédibles, en particulier les deux garçons, qui sont sympathiques et courageux sans jamais tomber dans le cliché du “détective en herbe qui réussit là où tout le monde a échoué”. (…) il n’y a pas beaucoup de bons récits d’aventures à se mettre sous la dent, et ce roman enlevant vient combler ce manque. Il est fait allusion aux titres précédents de la série, mais cela n’empêche pas de bien suivre l’histoire.”

  • ACELF (Association canadienne d’éducation de langue française) et Librairie Pantoute, 2012, article de D. Caron. (L’Orteil de Paros, collection enigmae)

“Ce roman est tout simplement passionnant! (…) Les voilà engagés dans une enquête palpitante tout en continuant de poursuivre leurs recherches pour trouver les réponses aux six énigmes. Anne Bernard-Lenoir propose aux enfants de 10 ans et plus un roman intelligent et vif rempli de renseignements historiques, géologiques, muséologiques, etc. Elle fait confiance à ses lecteurs et lectrices. Son roman de 152 pages est une petite mine d’or, que dis-je, de marbre!”

  • “Un silence assourdissant” Le journal de Montréal, 23 septembre 2012, article d’Anne-Marie Lobbe. (Le secret du pommier, Les pensionnaires de La Patoche)

“Il est très rare qu’un roman jeunesse mette en scène des personnes âgées, alors cette nouvelle petite série vaut certainement le détour. (…) Bref, j’adore les personnages de cette série, ils sont vraiment attachants. Et mention spéciale aux règlements de La Patoche, à la toute fin du roman : c’était une excellente idée de les inclure!”

  • Rue des libraires, septembre 2012, article de Francesca Boudreault. (Les pensionnaires de La Patoche)

Lire l’article ici

“A-do-rable, pour tous les âges! Trois retraités, amis pour la vie, pourraient couler des jours paisibles au sein d’une admirable maison de retraite. Mais tout n’est pas si tranquille à la Patoche. S’il y a un mystère à résoudre, Nina, Rose et Louis ne sont pas bien loin. Une histoire admirable, écrit avec un grand talent et une merveilleuse intelligence. A-do-rable, pour tous les âges. P.S.: Aux responsables de nos vieux jours, lisez ce roman et prenez des notes.”

  • Le choix de la rédaction, Revue Le libraire, revue no73, p 63, nov-déc 2012. (Le secret du pommier, Les pensionnaires de La Patoche)

Lire ici

“Un court roman d’aventures aussi bon qu’une tarte au sucre de mamie !”

“Une série policière toute neuve pour les lecteurs débutants! J’ai dévoré joyeusement les deux premiers tomes, découvrant avec plaisir le fameux complexe de la Patoche, et ses résidents au coeur jeune et à l’esprit vif. La plume d’Anne Bernard-Lenoir, agile et coquine, sait dire avec verve, et faire vivre l’aventure comme si on y était.”

  • Revue de littérature jeunesse LURELU, automne 2012, article de C. Filion. (L’inconnu de Beaver, Pacific Express)

Lire l’article ici (p44)

Voilà un captivant récit récréatif à saveur historique. Luke MacAllan, orphelin d’une maturité remarquable pour un enfant de onze ans, est un modèle inspirant de débrouillardise, de courage, de ténacité. Le suivre dans l’Ouest canadien, dans le contexte de la construction de la première voie ferrée transcanadienne, c’est porter son regard sur un coin de pays qu’on connaît peu ou pas du tout, c’est découvrir des mentalités, des maladies, des objets, des métiers surprenants disparus au fil du temps. C’est côtoyer la mortalité qui insuffle sans peine l’empathie, c’est croiser les mystérieux « macchabées » qui provoquent invariablement des sueurs froides. Les descriptions imagées nous projettent dans l’action en compagnie des personnages, colorent les paysages de leur parcours, nous font vibrer au gré d’une gamme d’émotions aussi intenses que contradictoires. Les dialogues plus ou moins enflammés entretiennent le suspense d’un chapitre à l’autre. Le vocabulaire appelle ici et là l’effort : plus d’une fois macabre, il rend l’intrigue crédible.
— C. Filion, Lurelu, 2012
  • Revue de littérature jeunesse LURELU, hiver 2012, article de R. Bertin. (La disparition de Ti-Khuan, Pacific Express)

Lire l’article ici (p3) et sur Terreur sur la ligne d’acier (p2)

Écrit dans un style coulant, au vocabulaire précis, aux dialogues vifs, ce roman regorge de détails sur la difficile vie quotidienne des ouvriers du chemin de fer à l’époque, sur leur proximité avec la nature sauvage. On y sent un climat menaçant, mais les personnages, à commencer par le jeune narrateur, ses amis et complices, apportent la dose d’humanité nécessaire pour survivre dans cet univers rude. Par surcroit, le suspense y est mené avec brio, l’énigme ne se dénouant qu’à la toute fin. Vite, la suite !
— R. Bertin, Lurelu, 2012
  • Revue de littérature jeunesse LURELU, hiver 2012, article de Rhéa dufresne (terreur sur la ligne d’acier)

Lire l’article ici (p2)

“Dans ce premier tome, Anne Bernard-Lenoir recrée l’atmosphère et les réalités de l’époque de manière très convaincante. On s’attache au personnage principal pour qui on éprouve spontanément de la sympathie. Les valeurs de respect des hommes et des bêtes et d’ouverture à l’autre exprimées par le jeune héros peuvent paraitre un peu plaquées pour le lecteur adulte, mais elles s’intègrent tout de même assez bien au récit. Les évènements et les retournements s’enchainent suffisamment vite pour créer un rythme efficace. Quelques mots de vocabulaire seront surement inconnus des plus jeunes lecteurs, mais ce n’est rien que la lecture du contexte ne saurait éclaircir. Voilà enfin un vrai roman d’aventures fidèle au genre (sans prendre la voie du fantastique ou de la course-poursuite comme c’est souvent le cas) et qui de surcroit présente une période historique peu exploitée jusqu’à maintenant en littérature pour la jeunesse.”

  • The Montreal Gazette, Montréal, 17 sept 2011, article de Michelle Lalonde. (Terreur sur la ligne d’acier, collection Pacific Express)

Life is rough for orphan in Wild West (For kids, en Français). Life is not easy for a boy growing up in Canada’s Wild West in the 1880s, and Luke MacAllan’s life is particularly difficult. At 11, he has already lost his mother to scurvy. His father, overcome by sorrow, has decided to take Luke out west to find work on the Canadian Pacific Railway. They head to the Rockies, where they find work on a crew whose job it is to find the shortest, surest passages for the railway. Luke’s father is a surveyor, charged with the dangerous task of assessing the stability of areas that have been recently dynamited. One day, Luke watches in horror as his father and another surveyor are buried alive in a rock slide. Now Luke is an orphan, overcome with sorrow. One night around the workers’ campfire, Luke makes the mistake of trying whiskey. Stumbling through town drunkenly, he comes upon a dead body and is then arrested by two unsavory police officers who accuse him of murder. Luke is thrown in jail briefly. He then learns of a plot to bomb a railway tunnel and he and his only friend, a young Chinese orphan named Ti-Khuan, have to step up to save the day. This chapter book, the first in a new series called Pacific Express, is certainly not for the faint of heart. The bad guys are thoroughly bad and even the good guys are far from perfect. But for kids 8 to 10 (and older for those for whom French is a second language) who like adventure stories, it is an intriguing glimpse into Canada’s history, and into the lives of thousands of poor boys and men, many of them underpaid Chinese immigrants, who built this country’s railway by hand.
— M. Lalonde, The Montreal Gazette, 2011
montrealgazette.JPG

Lire l’article ici (p39)

“Avec Pacific Express (la courte échelle), Anne Bernard-Lenoir propose quant à elle une série qui retrace l’histoire de la construction du premier chemin de fer transcontinental du Canada, en 1880. Attentat à la bombe, disparition étrange d’un employé chinois… Ce pan de l’histoire n’aura jamais été aussi intéressant !”

  • Revue Québec français, no 160, printemps 2011. Article d’Isabelle L’Italien-Savard (collection enigmae)

La série d’Anne Bernard-Lenoir apparaît prometteuse, avec ses personnages bien campés et une intrigue soutenue qui fait appel à l’intelligence.
— I. L'Italien-Savard, Québec Français, 2011
  • Revue littéraire Entre les lignes, printemps 2011, vol 7, no3. Article de Sonia Sarfati (collection enigmae)

“Il y a du Club des Cinq ou du Clan des Sept, mais sur un ton assurément plus contemporain. (…) D’une écriture riche, alerte et simple, qui va droit au but, utilisant des personnages qui sonnent juste, Anne Bernard-Lenoir, qui connaît sa matière première (histoire, science, etc) pour l’intégrer à la fiction sans donner l’impression de… donner une leçon, justement, a imaginé des intrigues efficaces.”

Lire l’article ici

Un petit polar ayant pour toile de fond la construction du chemin de fer transcanadien et les conditions rudes et précaires auxquelles étaient soumis les travailleurs, non seulement en raison de la nature sauvage qui les entouraient, mais des maladies (dont le scorbut ou la typhoïde) qui faisaient de grands ravages. Ce cadre historique bien défini sert d’ailleurs parfaitement l’intrigue qui permet ici à l’auteure de dénoncer au passage le mépris et le racisme avec lesquels était traitée la main-d’œuvre chinoise.
— Bibliothèques de Montréal, 2011
  • Le délivré, Librairie Monet, 6 juin 2011, article de Rhéa Dufresne (collection Pacific Express)

“Anne Bernard-Lenoir excelle dans la création d’atmosphères ; dans Pacific express, on est plus que lecteur, on est spectateur. On peut sentir le lieu, l’ambiance, même le froid de l’hiver dans la montagne. Le rythme est bon, les personnages sympathiques et le style très accessible.”

  • Radio de Radio-Canada SRC, Chroniques d’Anne Michaud, 11 mai 2011(collection enigmae)

Écouter ici

Très très très intéressant ! Ce qui est fort, c’est que [Anne Bernard-Lenoir] a réussi à intégrer toutes ces références historiques et scientifiques dans le texte, mais sans l’alourdir. Magique ! Trois tomes… et c’est le plaisir de suivre un suspense bien mené qui l’emporte à chaque fois. Chapeau pour cette série !
— A. Michaud, Radio-Canada, 2011

Lire l’article ici et sur L’orteil de Paros.

“Enquête, Histoire, aventures, secrets de famille, crime passionnel ancestral, mystère et exploration de lieux ténébreux: tous les ingrédients gagnants sont réunis dans une trame captivante qui, sous le couvert de la fiction, donne à découvrir un pan méconnu du passé. L’auteure excelle à instaurer un climat énigmatique particulièrement envoûtant, recourant adroitement aux colères de la nature pour accentuer le côté lugubre de certaines scènes (…) Des descriptions magnifiquement documentées qui ne manquent pas de susciter quelques frissons! Des reproductions d’articles et de documents d’archives (fictifs) qui nourrissent l’enquête des protagonistes ajoutent à la crédibilité et au dynamisme de la narration qui dresse un superbe portrait d’époque, dans les paysages de laquelle madame Bernard-Lenoir nous balade comme si on y était, forte de ses diplômes en urbanisme et en géographie. Une série ensorcelante et très prometteuse, rédigée d’une plume soignée très bien maîtrisée.”

  • The Montreal Gazette, Montréal, 9 déc 2011. Article de Michelle Lalonde (L’expédition Burgess, collection enigmae)

“For kids 10 and up, and particularly boys (although girls will like it too!), Enigmae.com: L’expédition Burgess, by Anne Bernard-Lenoir (la courte échelle, 160 pages, $12.95), is another adventure of the Valois brothers, this time in the Canadian Rockies. The brothers are on a school trip, the highlight of which is supposed to be examining fossils in a quarry at Yoho National Park. But they make a macabre and exciting discovery by accident: They find human bones and a box of treasure buried in the woods. Using the Internet, the boys sleuth out the harrowing story of how these relics came to be hidden more than a century and half ago, and along the way they learn some fascinating true history of Canada’s gold rush.”

montrealgazette.JPG
  • Revue de littérature jeunesse LURELU, automne 2011, Vol 34, No2, article de E. Bourget. (L’Orteil de Paros, collection enigmae)

Lire l’article ici (p2)

Léo et Félix, des passionnés de sciences et d’énigmes, visitent une exposition sur les marbres de l’Antiquité. Un concours y est relié. Il faudra répondre à six questions pour avoir la chance de gagner un voyage à Rome. En cherchant les réponses dans Internet, les jeunes découvrent qu’une des sculptures est identique à une œuvre volée il y a vingt-cinq ans. Commence alors une enquête qui leur fera entrevoir le monde de l’art sous un autre angle : la copie et son marché lucratif. Roman dense, palpitant, mené avec intelligence et habileté, L’orteil de Paros présente, de manière logique, une mine d’informations intéressantes et très poussées sur le marbre, l’histoire et l’art. Tout est là pour satisfaire les bons lecteurs hyper curieux. J’ai beaucoup appris. Une des qualités de ce roman vient du fait que l’auteure met en évidence le processus d’une démarche de recherche.
— E. Bourget, Lurelu, 2011
  • Revue Le Libraire, choix de la rédaction, automne 2010 (Le secret de l’anesthésiste, collection enigmae)

“... des personnages crédibles et attachants, une intrigue habilement ficelée et une écriture soignée (…) Complètement enlevant!”

  • The Montreal Gazette, 23 octobre 2010, article de Michelle Lalonde (collection enigmae)

montrealgazette.JPG

“If you have a preteen who reads French, La courte échelle has a great series called enigmae.com that will appeal to both sexes, and anyone with an interest in science, history and mysteries. ”

  • Le délivré, Blogue littéraire de la Librairie Monet, octobre 2010, article d’Alice Liénard (collection enigmae)

“Anne Bernard-Lenoir réussit avec brio à nous plonger dans un univers où histoire, enquêtes et découvertes insolites ne font qu’une. En suivant les découvertes des frères Valois, le lecteur se penche par là-même sur des pans méconnus de l’Histoire. Le tout est fait avec humour, suspense et surtout sans matraquage pédagogique.”

  • Magazine Trente millions d’amis, N0 261, édition de mars 2009 (La piste du lynx, collection Les aventures de Laura Berger)

Une intrigue policière palpitante, qui emmène le lecteur à la découverte des grands espaces canadiens.
— Magazine Trente millions d'amis, mars 2009
30millions.JPG
  • “Plaisirs nordiques” La Presse,‎ 25 janvier 2009. Article de Jade Bérubé (La piste du lynx, collection Les aventures de Laura Berger)

“... une aventure s’ajoute aux péripéties de Laura Berger, la série d’Anne Bernard Lenoir mettant en vedette la jeune détective n’ayant pas froid aux yeux. Après avoir arpenté la vallée des dinosaures des Rocheuses, la voici cette fois sur la piste d’un lynx kidnappé en plein cœur d’une Gaspésie enneigée. Laura l’intrépide sera alors malgré elle catapultée dans le monde sans pitié du braconnage. Encore une fois habilement documenté, le roman conscientise les jeunes lecteurs à une triste réalité de notre territoire tout en attisant leur curiosité face à la faune nordique inconnue... ou entraperçue au Biodôme !”

  • Le Devoir,‎ chronique “Long-courrier”, 2 août 2008. Article de Lio Kiefer. (collection Les aventures de Laura Berger)

Lire ici

On peut parler de littérature jeunesse voyageuse quand on évoque les trois livres d’Anne Bernard-Lenoir, chez Hurtubise. Cela ne veut pas dire que les adultes ne seront pas comblés, mais la façon dont elle raconte ses histoires devrait plaire à un public de jeunes. À la recherche de Lucy Jane nous amène sur les rives du Maine, à la recherche d’un trésor. La Nuit du Viking nous entraîne dans les dérives et les couleurs de Terre-Neuve, tandis que Le Tombeau des dinosaures, grâce aux aventures de Laura Berger qu’on avait laissée avec Lucy Jane, nous fait découvrir la paléontologie et le domaine des fossiles de dinosaures dans un puzzle aux rebondissements nombreux. J’ai cru retrouver par endroits des odeurs des livres du Club des Cinq et également des ressources essentielles pour connaître et aimer le monde. Des livres pour les vacances ou pour reprendre les classes du bon pied. D’où l’urgence de se les procurer.
— L. Kiefer, Le Devoir, 2008

Lire l’article ici

“Le roman, bien documenté et de lecture aisée, allie habilement suspense policier, aventures et sciences, tout en dénonçant les pratiques scandaleuses, mais hélas bien réelles, du braconnage et des trafics illicites qui lui sont associés.”

  • Télévision de Radio-Canada SRC, émission de télévision “Des kiwis et des hommes”, société Radio-Canada, 17 juillet 2008 (collection Les aventures de Laura Berger)

“Le tombeau des dinosaures. Roman Coup de cœur ! ”

  • Magazine GEO ADO, mai 2007 (La nuit du viking, collection Les aventures de Laura Berger)

“Une jeune femme passionnée par les Vikings parcourt Terre-Neuve et vit de palpitantes aventures.”

geoado.JPG
  • Magazine VOIR, édition décembre 2007, article de C. Fortier (Le tombeau des dinosaures, collection Les aventures de Laura Berger)

“… une trépidante aventure de vol d’os de dinosaures. Les fans de préhistoire et de dinosaures vont dévorer la troisième enquête de Laura Berger.”

voir.JPG
  • Entre les lignes, Revue littéraire, automne 2006, vol 3, No6. Article de Sonia Sarfati (La nuit du viking, collection Les aventures de Laura Berger)

Entre les péripéties que vit Laura, de courts passages beaux et poétiques à la manière des sagas, dans lesquels Anne Bernard-Lenoir raconte Eadric le Norvégien. Sa traversée, en 1005. Ses découvertes. Sa vie, fictive, sur ces terres neuves. On entre aujourd’hui dans cette série comme on entrait autrefois dans les Alice ou encore dans les Sylvie.
— S. Sarfati, Entre les lignes, 2006

Lire l’article ici

“Une intrigue bien ficelée et au rythme soutenu proposant un plongeon bien documenté dans le monde de l'archéologie et des sagas vikings ayant pour toile de fond le légendaire Vinland.”

Lire ici

Aucune austérité n’est obligatoire dans la familiarisation avec l’histoire et Anne Bernard Lenoir en fait l’éloquente démonstration. À elle la recherche et ses exigences, au lecteur le plaisir de recevoir à la fois un récit prenant et un rappel de faits vérifiés. Le décor des Îles-de-la-Madeleine est mis à contribution avec doigté et fidélité, l’histoire impose ses repères, mais l’intrigue progresse dans la liberté. On peut visiblement pratiquer la plongée sous-marine pour divers motifs : Laura, parce qu’elle entend percer le mystère d’une antique épave ; des truands, parce que la Lucy-Jane titille leur appétit par le trésor qu’elle est censée receler. Premier roman d’une auteure dont on peut déjà attendre de belles choses.
— L. Plante, Nuit blanche, 2005
  • Magazine Coup de pouce, juillet 2005 (À la recherche du Lucy-Jane, collection Les aventures de Laura Berger)

“Enlevant !”

  • Bibliothèque et Archives Canada, roman La nuit du viking (collection Les aventures de Laura Berger)

    Livre cité en référence sur le site du gouvernement du Canada : “En quête de la vérité : contrefaçon, imitation et tromperie”

biblioetarchivescanada.JPG